Quelle discussion, quels arguments... c'est vrai que l'enseignement et ses responsables se trouvent de plus en plus face à des situations très inextricables. Le mot "compromis" fait penser que d'office c'est possible, mais réellement il semble que les compromis, quels qu'ils soient ne font plus avancer, tout simplement et à mon humble avis, du fait même que l'on essaye d'en faire. Radicalement je pourrai dire que je ne suis pas un homme de compromis vu que pour moi depuis fort longtemps, blanc c'est blanc et noir c'est noir, le milieu est une orientation aléatoire et le centre n'est qu'un point qui se déplace en fonction de l'objet qui le contient, science quand tu nous tiens,.. Mais pour en aller au fait, qui où, pourquoi, comment, quand faire des compromis ? : c'est une décision de laquelle dépendent déjà et vont dépendre de plus en plus de personnes et ceux qui font les compromis pour eux ont-ils forcément leur soutien, leur adhésion ou alors comme pour la pluspart des compromis sont-ils déjà mis en place avant d'être proposés et par là même deviennent décision unilatérale ou d'un groupe pour un autre...? (littéraire comme d'hab' mais ça garde un sens). En quelque sorte je vous demande à une heure indue et la journée aussi de répondre à mes errances du dimanche sans vraiment avoir besoin d'une réponse, vu que le compromis et moi nous sommes définitivement deux !!!
C'est l'heure de spirituellement me référer à un garçon mort bien trop jeune : Keith Green et qui a été SANS COMPROMIS toute sa vie durant, quitte à choquer par ses attitudes et décisions mais l'a été et pour cela je lui tire mon chapeau. Cet homme (de Dieu) soi-dit en passant est très bien relaté dans la biographie de sa vie par son épouse : ce livre porte le titre de : Sans Compromis... ne vous le disais-je pas déjà ?
Commentaires
Je partage la majeure partie de cette proposition, un compromis peut même être dangeureux, je préfère employer et aboutir à un consensus.
Mais les "accords"sont souvent limités...
Quant à Keith Green, je découvre, "à chaud" je n'aime pas trop.