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voler

  • ... rêve... réalité ... rêve ... réalité ...

     

     « Mais l'on peut aussi courir, marcher, se balader, voler...dans sa tête… »

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    (l'image pour cette fois est "empruntée"...je n'ai rien sous la main ... ;-D)
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    Cette affirmation provient d’un commentaire sur un autre de mes blogs destiné photo,  mais elle m’interpelle ….

    Oui : serais-je tenté de dire de suite et sans prendre la peine d’explorer un tant soit peu cette affirmation. Mais depuis que j’ai lu, relu, je crois que « dans sa tête » est quand même une localisation, une forme d’endroit, un espace, un lieu, si on l’imagine, qui n’est pas des plus faciles d’accès et aussi peu propice à cela dans les faits.

    Depuis qu’un « mec intelligent » a dit qu’il vaut mieux une tête bien pleine que bien faite…et que j’ai lu et entendu ce phrasé célèbrissime, il m’est arrivé d’arrêter le temps de temps à autre et d’y entrer…, dans cet univers personnel, dans ce lieu qui m’est propre, qui est impénétrable pour la majorité de ceux que je côtoie et qui me connaissent ( ?), dans cette « sphère » (ma tête est ronde oui !) évaluée par certains positivement par d’autres négativement, par une autre partie de gens : pas du tout,…  et de figer certains de ces moments.

    Eh bien je ne suis pas si fier que cela, si je « me balade » dans ma tête et quand j’essaye de « verbaliser » cette aventure. Dans le cas présent, déjà le fait de dire : je vais marcher ou courir dans ma tête, fixe automatiquement des limites, même si nous pouvons dire que l’imagination, l’imaginaire est sans limites. Moi si je marche, si je cours, si je me balade dans ma tête, je n’imagine pas aller au – delà de mes capacités physiques, ou de mes connaissances car sinon je vais rêver, et ce n’est pas cela que je souhaite, je veux être en action  dans ma tête, sinon il est probable qu’aucun résultat « concrêt » n’en découle…

    « «  je me baladais donc, le long d’une rivière (ce qui suppose marcher sur le plat plus ou moins, en légère pente, sinon cela devient un torrent…) et  mon amie (épouse par exemple…) me dépassa et accéléra le pas pour, se mettre à courir. Je l’imitais donc ( … là dans la réalité, ce n’est pas possible, mes petits bobos de hanche, de rotule etc… sont trop handicapants pour imaginer la scène…) et comme de bien entendu n’y réussissant pas, je me remis donc à marcher… le long de la rivière… plusieurs tentatives de me mouvoir différemment échouèrent et… là je me pris à rêver ! Bein Ouiii pourquoi marcher,pourquoi me balader,  pourquoi courir ??? Hein après tout je peux voler non ??, je rêve et tout est possible !! …  NIET, je suis un pauvre mamiphère debout ! et ça mon pauvre, ça , ça ne vole pas !!! » » … vous me suivez ?!

    Ce n’est pas ce que l’on veut dire quand on affirme ce genre de trucs,  mais dans la réalité il est évident que le pas possible, même dans la tête, reste pas possible quand nous sommes rationnels et « pieds sur terre »…  ce qui est notre lot !

    Mais c’est si bon de rêver !!!

    Dans une autre de mes balades dans « la sphère », je me suis pris à « être une femme », je vous laisse imaginer la suite… le rêve....

    Bon vendredi à vous, c’est la journée que je préfère, rappelez-vous… et c’est bien réel !