Avec mes amitiés à Alsacop... et à vous toutes et tous qui "contemplez"...
... encore un peu de temps et je reviens...
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Avec mes amitiés à Alsacop... et à vous toutes et tous qui "contemplez"...
... encore un peu de temps et je reviens...
Et voilà : 50 ans de Schtroumpfs....!!!! et un mot qui est entré dans les "moeurs", un mot dis-je : un langage et qui n'a pas son schtroumpf à ce jour ???
Vous allez me dire, il devient marteau le vieux Doume, mais voilà, je viens d'entendre que le PSG joue dans un stade que j'aime bien et que j'ai eu l'occasion, il n'y a pas longtemps de fréquenter pour un match de coupe d'Allemagne entre le "Bayern" et mon équipe préférée du championnat allemand (3ème ligue) que je ne peux nommer...(wsv)... ;-)
Je mets là juste quelques photos, de quoi rendre nostalgiques déjà les fans du PSG qui ne pourront pas y être ...
J'allais écrire une note, je n'ai pas changé le titre, mais je veux vous écrire ce que j'ai pensé après avoir lu les notes sur le blog de Rosa :
http://cybermamies.hautetfort.com/archive/2008/10/13/nous-sommes-tous-des-nomades.html
Définition du Littré pour NOMADE : Qui n'a point d'habitation fixe, en parlant de peuples.
"Longtemps avant Solon, les Scythes nomades étaient en grande réputation pour leur simplicité, leur frugalité, leur tempérance et leur justice." [Rollin, Histoire ancienne]
"Il [Abraham] est représenté au sortir de l'Égypte comme un pasteur nomade, errant entre le mont Carmel et le lac Asphaltide. [Voltaire, Essai sur les moeurs et l'esprit des nations et sur les principaux faits de l'histoire depuis Charlemagne jusqu'à Louis XIII]
De grandes conquêtes, de grands renversements, voilà les oeuvres des hommes nomades ; de grands établissements, des travaux consacrés à l'immortalité, voilà les oeuvres des hommes policés. [Lévesque, Instit. Mém. sc. mor. et pol. t. I, p. 246]
Par extension, une population nomade, certaine classe de gens qui n'ont pas de résidence et qui se déplacent suivant les besoins.
C'est sur l'extension que je commenterais en sus... j'ai toujours supposé que le dit "nomade" avait besoin d'un désert autour de lui, de grands espaces, mais on ne peut être nomade dans un pays de la taille de la France, il n'y a pas d'étendues, ni culturelles, ni géographiques, je pense que dans notre pays nous n'avons que l'illusion d'être nomades... ceci étant, la dernière partie de l'extension parle des "besoins"... et là je dois dire que à "court de besoins" comme nous le sommes presque tous, il suffit juste de lire tes reportages Rosa et de nous mettre en parallèle... et, cette absence de résidence mentionnée nous concernerait-elle... ?
J'avoue que tes notes donnent à réfléchir et inscitent à nous replier un peu sur nous en essayant de nous re-définir, c'est vrai, mais même en étant depuis 38 ans sur les routes, je ne me considèrerais pas comme nomade, à peine voyageur (et encore ...de commerce) la plupart du temps...
Rosa j'ai mis toute ma "pause" (10 min....) entre parenthèses pour te répondre, discuter... et j'espère ne pas être hors-sujet, ma très chère "passeuse entre générations", je veux ainsi interpeler les jeunes gens, moins de 35 ans (;-)) qui passent ici ou chez toi, pour qu'ils s'expriment, car nos conceptions (à la majorité d'entre nous), il se pourrait qu'elles soient "du passé" à leurs yeux ! Non ? A moins que je sois "juste" dans mes impressions, et que la confirmation de la "sédentarisation du voyageur sur la toile" soit devenue évidence ?
... et maintenant... reprise du cours normal de ma journée...
Promenade à seize ans
La terre souriait au ciel bleu. L’herbe verte
De gouttes de rosée était encor couverte.
Tout chantait par le monde ainsi que dans mon coeur.
Caché dans un buisson quelque merle moqueur
Sifflait. – Me raillait-il ? – Moi, je n’y songeais guère.
Nos parents querellaient, car ils étaient en guerre
Du matin jusqu’au soir, je ne sais plus pourquoi.
Elle cueillait des fleurs, et marchait près de moi.
Je gravis une pente et m’assis sur la mousse
À ses pieds. Devant nous une colline rousse
Fuyait sous le soleil jusques à l’horizon.
Elle dit : « Voyez donc ce mont, et ce gazon
« Jauni, cette ravine au voyageur rebelle ! »
Pour moi je ne vis rien, sinon qu’elle était belle.
Alors elle chanta. – Combien j’aimais sa voix !
Il fallut revenir et traverser le bois.
Un jeune orme tombé barrait toute la route ;
J’accourus ; je le tins en l’air comme une voûte
Et, le front couronné du dôme verdoyant,
La belle enfant passa sous l’arbre en souriant.
Émus de nous sentir côte à côte et timides,
Nous regardions nos pieds et les herbes humides.
Les champs autour de nous étaient silencieux.
Parfois, sans me parler, elle levait les yeux ;
Alors il me semblait, (je me trompe peut-être),
Que dans nos jeunes coeurs nos regards faisaient naître
Beaucoup d’autres pensées, et qu’ils causaient tout bas
Bien mieux que nous, disant ce que nous n’osions pas.
Guy de Maupassant
Quand je parle du temps passé, les mots me viennent difficilement mais nous avons des "aides magnifiques"...
N'est-ce pas ?
Bonne méditation... à vous qui passez....
Je complête un peu ma note musicale sur Jacques Brel.
Comme vous tous et toutes, je veux parler à ceux qui lisent et participent sur ce blog, j'ai été bercé par ses chansons, j'ai ri, pleuré, fêté sur ses airs. J'ai dansé la valse, le tango et dans des soirées que nous animions, mon ami (de ce temps là) Marcel et moi, avec guitarre et harmonica, chapeau à la sortie, nous ne pouvions pas nous passer des chansons de Jacques Brel car il était incontournable. "Ces gens là" d'autant plus, parce que cela nous rappelait des situations personnelles mais tellement communes dans nos jeunes années. Il y avait aussi la chanson : "ça sent la bière de Londres à Berlin"... "Non Jef, t'es pas tout seul...", "T'as voulu voir Vesoul", "j'vous ai apporté des bonbons".... enfin je mets les paroles parce-que les titres n'évoqueraient rien à certains, du moins je le pense.
J'ai tant de chansons dans la tête de ces années passées de Brel comme de Brassens, Ferrat, Moustaki, Lama, Amont, Aznavour, etc..... et finalement les chansons récentes ou dernières 10 années, ne sont bizarrement pas restées gravées, en tous cas pas de la même façon. Je ne sais pas ce que vous, mes amis, pouvez ressentir, mais je dois dire que cela m'intéresse parce-que je me demande si c'est en quelque sorte lié à l'âge ou une question d'intérêt seulement ?... Je le dis dans mes commentaires sur le Tag de Rosa, mon amour de la musique s'est porté sur la musique classique et je préfère cet environnement là, en acceptant même si c'est avec un peu de modération, la nouvelle musique classique, Messiaen, Boulez...etc...
Merci de me dire les choses que vous ressentez...
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Sans commentaires.... (ce sera pour demain peut-être...)
Hier, en balade comme tous les dimanches , nous sommes allés sur les "chemins de mon enfance" et j'ai pu faire des photos automnales et puis j'ai fait des essais pour modifier ma bannière "partition" qui me convenait bien mais cela fera du bien de "tomber" sur autre chose en allant chez Doume... alors voilà j'ai retenu "la pomme" sur les deux possibilités selectionnées...
L'autre la voilà...